C’est long, c’est lent, c’est cognitif, c’est du Lanzmann. L’Israël des années 70 date un peu car tout change vite. A voir tout de même.
Le film commence et se termine à Yad Vashem, et les trois heures du documentaire apparaissent comme une longue parenthèse ouverte à l’intérieur d’un même plan tourné dans la salle, qui recueille les noms des six millions de disparus pendant la Shoah, explique l’hebdomadaire. Pour Claude Lanzmann, « la relation de causalité entre la Shoah et l’existence (…)