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Le texte de la Parasha Nasso en français

Le texte de la Parasha Nasso en français

Nombres 4.21 - 7.85 -

Recensement et fonctions des clans de Levi :

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Fais aussi le relevé des enfants de Guerchôn, par maisons paternelles, selon leurs familles.

C’est depuis l’âge de trente ans et plus, jusqu’à l’âge de cinquante ans, que tu les recenseras quiconque est apte à participer au service, à faire une besogne dans la Tente d’assignation.

Voici les fonctions des familles nées de Guerchôn, ce qu’ils serviront et ce qu’ils transporteront ; elles porteront les tapis du tabernacle  , le pavillon d’assignation, sa couverture et la housse de tahach qui la couvre extérieurement, ainsi que le rideau-portière de la Tente d’assignation ; les toiles du parvis, le rideau d’entrée servant de porte à ce parvis, qui s’étend autour du tabernacle   et de l’autel, et leurs cordages, et toutes les pièces de leur appareil ; et tout ce qui leur est confié et dont elles s’occuperont. C’est sur l’ordre d’Aaron et de ses fils qu’aura lieu tout le service des descendants de Guerchôn, pour tout ce qu’ils ont à porter comme à exécuter ; et vous commettrez à leur garde tout ce qu’ils devront transporter.

Telle est la tâche des familles descendant de Guerchôn, dans la Tente d’assignation et leur surveillance est entre les mains d’Ithamar, fils d’Aaron le prêtre.

Les enfants de Merari, selon leurs familles, par maisons paternelles, tu les recenseras. De l’âge de trente ans et au-dessus, jusqu’à l’âge de cinquante ans, tu les recenseras : tous ceux qui sont admissibles au service, pouvant assurer le service de la Tente d’assignation. Voici le partage confié à leur garde, selon leur emploi dans la Tente d’assignation : les solives du tabernacle  , ses traverses, ses piliers et ses socles ; les piliers du pourtour du parvis, leurs socles, leurs chevilles et leurs cordages, avec toutes leurs pièces et tout ce qui s’y rattache. Vous leur attribuerez nominativement les objets dont le transport leur est confié.

Telle est la tâche des familles descendant de Merari, le détail de leur service dans la Tente d’assignation, sous la direction d’Ithamar, fils d’Aaron le prêtre ».

Moïse et Aaron, et les phylarques de la communauté, firent le recensement des Qehathites, selon leurs familles et leurs maisons paternelles, depuis l’âge de trente ans et au delà, jusqu’à l’âge de cinquante ans, de quiconque était admissible au service à une fonction dans la Tente d’assignation. Leur recensement, selon leurs familles, fut de deux mille sept cent cinquante.

Tel fut le contingent des familles nées de Qehâth, de tous ceux qui fonctionnent dans la Tente d’assignation, ainsi que Moïse et Aaron les recensèrent selon la parole de l’Eternel, par la main de Moïse.

Pour le contingent des enfants de Guerchôn, selon leurs familles et leurs maisons paternelles, depuis l’âge de trente ans et au delà, jusqu’à l’âge de cinquante ans, tous ceux qui étaient admissibles au service, à une fonction dans la Tente d’assignation, comptés par familles, selon leurs maisons paternelles, leur nombre fut de deux mille six cent trente.

Tel fut le contingent des familles nées de Guerchôn, employées dans la Tente d’assignation, ainsi que Moïse et Aaron les recensèrent selon la parole de l’Eternel.

Et le contingent des familles des enfants de Merari, selon leurs familles, selon leurs maisons paternelles, depuis l’âge de trente ans et au delà, jusqu’à l’âge de cinquante ans, tous ceux qui étaient admissibles au service, à une fonction clans la Tente d’assignation, leur contingent, par familles, fut de trois mille deux cents. Tel fut le contingent des familles des enfants de Merari que Moïse et Aaron dénombrèrent selon la parole de l’Eternel, par la main de Moïse.

Total du dénombrement opéré par Moïse, Aaron et les phylarques d’Israël à l’égard des Lévites, selon leurs familles et leurs sons paternelles, de l’âge de trente ans et au delà, jusqu’à l’âge de cinquante ans, tous ceux lui étaient admissibles à l’exécution d’un service ou à celle d’un transport dans la Tente d’assignation : leur nombre fut de huit mille cinq cent quatre-vingts.

Selon la parole de l’Eternel, on leur assigna, sous la direction de Moïse, à chacun son service et les objets à transporter ainsi que ses recensés, comme Dieu l’avait ordonné à Moïse.

Renvoi des lépreux

5

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Ordonne aux enfants d’Israël, qu’ils renvoient du camp tout individu lépreux, ou atteint de flux, ou souillé par un cadavre. Renvoyez-le, hommes ou femmes, reléguez-les hors du camp, afin qu’ils ne souillent point leurs enceintes au milieu desquelles je réside. » Ainsi firent les enfants d’Israël : ils les renvoyèrent hors du camp.

Comme l’Eternel avait parlé à Moïse, ainsi agirent les enfants d’Israël.

Offrande expiatoire

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Parle aux enfants d’Israël : Un homme ou une femme qui aura causé quelque préjudice à une personne en commettant une faute grave envers Dieu, et que cet individu se sente coupable, il confessera le préjudice commis, puis il restituera en sa totalité l’objet du délit, et il l’augmentera du cinquième, et le remettra à la personne lésée, si cette personne n’a pas de proche parent à qui l’on puisse restituer l’objet du délit, l’objet restituable sera remis à Dieu pour le Cohen   ; indépendamment du bélier expiatoire, par lequel on lui obtiendra grâce. Toute chose prélevée parmi les objets consacrés offerts par les enfants d’Israël au prêtre lui appartiendra. A chacun ses parts consacrées, elles lui appartiennent ; ce que l’on aura donné au prêtre, lui appartiendra ».

La femme Sota

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Parle aux enfants d’Israël et dis-leur : Si la femme de quelqu’un, déviant de ses devoirs, lui devient infidèle, et qu’un homme a eu avec elle un commerce charnel et l’acte a été, caché aux yeux de son époux, et qu’elle s’est écartée et déshonorée, et qu’il n’y a pas eu de témoins contre elle, et elle n’a pas été surprise, mais qu’un esprit de jalousie s’est emparé de lui et qu’il soupçonne sa femme, et elle a été déshonorée ; ou qu’un esprit de jalousie se soit emparé (le lui et qu’il soit devenu jaloux de sa femme, et elle n’était point déshonorée, cet homme conduira sa femme devant le prêtre et présentera pour offrande.

A cause d’elle, un dixième d’épha de farine d’orge ; il n’y versera point d’huile et n’y mettra point d’encens, car c’est une oblation de jalousie, une oblation de souvenir laquelle remémore l’offense. Et le prêtre la fera approcher, et il la placera en présence du Seigneur.

Le prêtre puisera de l’eau sainte dans un vase d’argile, et le prêtre prendra de la poussière se trouvant sur le sol du tabernacle   et la mettra dans cette eau.

Le prêtre placera la femme en présence de Dieu, et il lui découvrira la tête et lui posera sur les mains l’oblation de ressouvenir, qui est l’oblation de jalousie, et le prêtre tiendra dans ses mains les eaux amères qui communiquent la malédiction.

Puis le prêtre adjurera la femme. Il dira à cette femme :

« Si un homme n’a pas eu commerce avec toi, si tu n’as pas dévié, en te souillant, de tes devoirs envers ton époux, sois épargnée par ces eaux amères de la malédiction. Mais si tu as dévié de tes devoirs envers ton époux et si tu t’es déshonorée ; si un homme a eu commerce avec toi, autre que ton époux... »

Alors le prêtre adjurera la femme par le serment d’imprécation, et il dira à la femme :

« Que Dieu fasse de toi un sujet d’imprécation et de serment au milieu de ton peuple, en faisant- lui l’Eternel - dépérir ton flanc et gonfler ton ventre ; et que ces eaux de malédiction s’introduisent dans tes entrailles, pour faire gonfler le ventre et dépérir le flanc ! »

Et la femme répondra : « Amen   ! Amen   ! »

Le prêtre écrira ces malédictions sur un bulletin, et les effacera dans les eaux amères ; et il fera boire à la femme les eaux amères de la malédiction, et elles viendront en elles, les eaux amères pour l’amertume.

Puis le prêtre prendra des mains de la femme l’oblation de jalousie ; il balancera cette oblation devant le Seigneur, et l’approchera de l’autel. Le prêtre prendra une poignée de cette oblation comme mémorial qu’il fera fumer sur l’autel. Et après il fera boire à cette femme les eaux.

Lorsqu’il le lui aura fait boire, il arrivera que, si elle s’est souillée et a trahi son époux, les eaux amères viendront en elle pour l’amertume : son ventre gonflera, son flanc dépérira ; et cette femme deviendra un sujet d’imprécation parmi son peuple.

Mais si cette femme ne s’est pas souillée, si elle est restée pure, elle restera indemne et elle aura une postérité.

Telle est la règle concernant la jalousie, au cas qu’une femme ait dévié de ses devoirs envers son mari et se soit déshonorée, ou si un homme, assailli d’un esprit de jalousie, avait soupçonné sa femme : il présentera la femme devant le Seigneur, et le prêtre lui appliquera cette règle en tout point. Cet homme sera net de toute faute, et cette femme expiera la sienne. »

Le Nazir

6

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Parle aux enfants d’Israël et dis-leur : Lorsqu’un homme ou une femme fera explicitement le vœu d’être nazir, voulant s’abstenir en l’honneur de Dieu, [*il s’abstiendra de vin et de boisson enivrante*], ne boira ni vinaigre de vin, ni vinaigre de liqueur, ni une infusion quelconque de raisins, et ne mangera point de raisins frais ni secs. Tout le temps de son abstinence, il ne mangera rien de ce qui provient de la vigne, depuis les pépins jusqu’à l’enveloppe.

Tout le temps stipulé pour son abstinence, [*le rasoir ne doit pas effleurer sa tête*] : jusqu’au terme des jours où il veut s’abstenir pour l’Eternel, elle doit être sainte et il laissera croître librement la chevelure de sa tête.

Tout le temps de son abstinence en l’honneur de l’Eternel, [*il ne doit pas approcher d’un corps mort*] ; pour son père et sa mère, pour son frère et sa sœur, pour ceux-là même il ne se souillera point à leur mort, car l’auréole de son Dieu est sur sa tête. Tous les jours de son naziréat, il est consacré à Dieu.

Si quelqu’un vient à mourir près de lui inopinément, ce sera une souillure pour sa tête consacrée : il rasera sa tête le jour de sa purification, le septième jour il la rasera.

Puis, le huitième jour, il apportera deux tourterelles ou deux jeunes colombes au prêtre, à l’entrée de la Tente d’assignation.

Le prêtre offrira l’une comme expiatoire, l’autre comme holocauste, et fera expiation pour lui du péché qu’il a commis par le cadavre ; et il consacrera sa chevelure en ce jour. Il vouera à Dieu la même période d’abstinence, et il offrira un agneau âgé d’un an, comme délictif ; et les jours antérieurs seront nuls, parce que son abstinence a été souillée.

Or, voici la règle du nazir : quand seront accomplis les jours de son abstinence, on le fera venir à l’entrée de la Tente d’assignation, et il présentera son offrande à l’Eternel : un agneau d’un an, sans défaut, pour holocauste ; une brebis d’un an, sans défaut, pour expiatoire, et un bélier sans défaut pour rémunératoire. Plus une corbeille d’azymes en gâteaux de fleur de farine pétris à l’huile, et des galettes azymes ointes d’huile ; ainsi que leurs oblations et leurs libations. Le prêtre les approchera de l’Eternel : il offrira son expiatoire et son holocauste ; le bélier, il le traitera comme sacrifice rémunératoire à Dieu, accompagné de la corbeille d’azymes, de son oblation et de sa libation.

Alors le nazir rasera, à l’entrée de la Tente d’assignation, sa tête consacrée ; et il prendra cette chevelure consacrée, et la jettera sur le feu qui est sous le sacrifice rémunératoire.

Et le prêtre prendra l’épaule du bélier, cuite, puis un gâteau azyme dans la corbeille et une galette azyme ; il les posera sur les mains du nazir, après qu’il se sera dépouillé de ses cheveux consacrés, et le prêtre en opérera le balancement devant le Seigneur : c’est une chose consacrée qui appartient au Cohen  , indépendamment de la poitrine balancée et de la cuisse prélevée.

Alors le nazir pourra boire du vin.

Telle est la règle du nazir qui aura fait un vœu ; telle sera son offrande à l’Eternel au sujet de son abstinence, sans préjudice de ce que permettront ses moyens : il fera selon le vœu qu’il aura prononcé en sus de la règle relative à son naziréat ».

Birkat Cohanim  

L’Eternel parla à Moïse en disant : « Parle à Aaron et à ses fils en disant : « Voici comment vous bénirez les enfants d’Israël ; vous leur direz :

[*Que l’Eternel te bénisse et te protège !

Que l’Eternel fasse rayonner sa face vers toi, et te soit bienveillant !

Que l’Eternel tourne sa face vers toi et t’accorde la paix !*]

Ils imposeront mon nom sur les enfants d’Israël, et moi je les bénirai. »

Inauguration du Mishkane et offrandes

7

Ce fut au jour où Moïse eut achevé de dresser le tabernacle  , et de le consacrer avec toutes ses pièces, ainsi que l’autel et tous ses ustensiles ; lorsqu’il les eut ainsi oints et consacrés, les phylarques d’Israël, chefs de leurs familles paternelles, firent des offrandes ; ce furent les chefs des tribus, ceux qui avaient présidé aux dénombrements.

Ils présentèrent pour offrande, devant l’Eternel, six chariots et douze bêtes à cornes, un chariot par deux phylarques, un taureau par phylarque, et ils les amenèrent devant le tabernacle  .

Et l’Eternel parla à Moïse en disant : « Reçois ces présents de leur part, ils seront employés au service de la Tente d’assignation : tu les remettras aux Lévites, à chacun selon sa tâche ».

Moïse reçut les chariots et les bêtes à cornes, et les remit aux Lévites.

Il donna deux chariots et quatre taureaux aux enfants de Guerchôn eu égard à leur tâche ; a et les quatre autres chariots et les huit autres taureaux, il les donna aux enfants de Merari, eu égard à leur tâche, dirigée par Ithamar, fils d’Aaron le prêtre.

Quant aux enfants de Qehath, il ne leur en donna point : chargés du service des objets sacrés, ils devaient les porter sur l’épaule. Les phylarques firent des offrandes inaugurales pour l’autel, le jour où il fut oint, et amenèrent leurs offrandes devant l’autel.

Mais l’Eternel dit à Moïse : « Qu’un jour un phylarque, un jour un autre phylarque présentent leur offrande pour l’inauguration de l’autel. »

Offrande de Yehouda

Celui qui présenta [*le premier jour*] son offrande, fut Nahchôn, fils d’Amminadab, de la tribu de Juda.

Son offrande était : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles d’or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire.

Puis, pour le sacrifice de rémunération, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande de Nahchôn, fils d’Amminadab.

Offrande d’Issachar

[*Le second jour*], Nethanel, fils de Tsouâr, phylarque d’Issachar, fit l’offrande ; il présenta pour offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles d’or, pleine de parfum un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et pour le sacrifice de rémunération, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande de Nethanel, fils de Tsouâr.

Offrande de Zabulon

[*Au troisième jour*], ce fut le phylarque des enfants de Zabulon, Elïab, fils de Hêlôn.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice de rémunération, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Elïab, fils de Hêlôn.

Offrande de Ruben

[*Au quatrième jour*], le phylarque des enfants de Ruben, Eliçour, fils de Chedéour.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles d’or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Eliçour, fils de Chedéour.

Offrande de Shimon

[*Au cinquième jour*], le phylarque des enfants de Siméon, Cheloumïel, fils de Tsourichaddaï.

Son offrande : une écuelle d’argent de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande de Cheloumïel, fils de Tsourichaddaï.

Offrande de Gad

[*Au sixième jour*], le phylarque des enfants de Gad, Elyaçaf, fils de Deouél.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Elyaçaf, fils de Deouél.

Offrande d’Ephraïm

[*Au septième jour*], le phylarque des enfants d’Ephraïm, Elichama, fils d’Ammihoud.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent, de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Elichama, fils d’Ammihoud.

Offrande Manassé

[*Au huitième jour*], le phylarque des enfants de Manassé, Gamliel, fils de Pedahçour.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour une oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande de Gamliel, fils de Pedahçour.

Offrande de Benjamin

[*Au neuvième jour*], le phylarque des enfants de Benjamin, Abidan, fils de Ghidoni.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Abidân, fils de Ghidoni.

Offrande de Dan

[*Au dixième jour*], le phylarque des enfants de Dan, Ahïézer, fils d’Ammichaddaï.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ;un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Ahïézer, fils d’Anlmichaddaï.

Offrande d’Asher

[*Au onzième jour*], le phylarque des enfants d’Aser, Paghïel, fils d’Okran.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an, pour holocauste ; un jeune bouc pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande de Paghïel, fils d’Okran.

Offrande de Naftali

[*Au douzième jour*], le phylarque des enfants de Nephtali, Ahira, fils d’Enân.

Son offrande : une écuelle d’argent, du poids de cent trente sicles ; un bassin d’argent de soixante-dix sicles, au poids du sanctuaire, tous deux remplis de fleur de farine pétrie à l’huile, pour oblation ; une coupe de dix sicles, en or, pleine de parfum ; un jeune taureau, un bélier, un agneau d’un an pour holocauste ; un jeune bouc, pour expiatoire ; et, pour le sacrifice rémunératoire, deux taureaux, cinq béliers, cinq boucs, cinq agneaux d’un an.

Telle fut l’offrande d’Ahira, fils d’Enân.

Total des offrandes

Ce fut là le présent dédicatoire de l’autel, offert le jour où il fut oint, par les phylarques d’Israël : douze écuelles d’argent, douze bassins d’argent, douze coupes d’or.

Chaque écuelle d’argent, cent trente sicles, et chaque bassin, soixante-dix sicles : poids total de l’argent des vases, deux mille quatre cents sicles, au poids du sanctuaire.

Douze coupes d’or, pleines de parfum, chaque coupe de dix sicles, au poids du sanctuaire : total de l’or des coupes, cent vingt sicles. Somme du gros bétail pour holocauste ; douze taureaux ; de plus, douze béliers, douze agneaux d’un an, outre leur oblation, et douze jeunes boucs pour expiation.

Somme du gros bétail pour le sacrifice rémunératoire : vingt-quatre taureaux ; de plus, soixante béliers, soixante boucs, soixante agneaux âgés d’un an.

Ainsi fut inauguré l’autel, après avoir été oint. Or, quand Moïse entrait dans la Tente d’assignation, pour qu’Il lui parlât, il entendait la Voix lui parlant de dessus le propitiatoire qui couvrait l’arche du Statut, entre les deux chérubins et elle s’adressait à lui.

Ecouter la Parasha   cantilée

Cantillation séfarade

http://www.massorti.com/son/parasha...

35 nasso

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