Une porte rabbinique devrait être une porte ouverte pour chercher à résoudre et à apaiser ; le plus souvent c’est devenu une porte qui vous claque à la figure, quand elle n’est pas carrément fermée.
Ce matin, je me suis rendu à une synagogue de mon quartier, à Nice, que je ne fréquente que rarement (trop matinale pour moi), mais cette fois-ci, j’y étais pour des amis qui achevaient un mois de deuil...
Office quotidien normal, en petit comité dans une petite schoul où le dixième n’est (...)