Sous la menace de la tempête économique, le jour de Kippour (et sa magnifique liturgie) prend tout son sens.
Alors que nous nous tenons devant Dieu, implorant la clémence divine à l’issue des dix jours de repentance, alors que nous achevons notre examen de conscience et dressons le bilan de notre vie, je me pose une simple question : qu’est-ce que Dieu attend encore ?
Quel est le commandement de la dernière chance, qui telle une dernière pièce à conviction, pourrait infléchir le (...)