Etre le deuxième n’est pas toujours une position aisée. Le premier est motivé par la nouveauté, par ce sentiment transcendant de créer quelque chose et d’ouvrir la voie.
Le troisième a le sentiment de la continuité, d’assumer un héritage que l’on doit poursuivre, renforcer et diversifier. Mais le deuxième se trouve placé juste au point d’hésitation. Le début du projet s’est effectué sans lui, et en même temps il n’est pas assuré de sa réussite. La force d’âme qu’il faut pour réussir à (...)