Réagissant à l’avis de l’éminent bibliste, André Caquot, publié dans Information juive, sur l’ouvrage de I. Finkelstein et de N. A. Silberman, La Bible dévoilée, je vous livre l’une et l’autre réflexions.
Le professeur résume excellemment les thèses de ces deux archéologues israéliens mais, hélas, sans en évoquer la critique. Je ne parle pas ici de certains cercles fondamentalistes qui, par principe, récusent toute contestation de l’historicité biblique. Leur approche est « concordiste », (…)