Moise Cohen s’interroge sur le phénomène du rassemblement lors de la Neila, la prière qui vient clore Kippour.
Dans quelques jours les juifs du monde entier, pratiquants ou pas, vont célébrer en masse la fête de Kippour, marquant ainsi leur appartenance à la communauté juive.
Cette affluence soudaine soulève à mes yeux une réelle interrogation : comment se fait-il que des hommes et des femmes, qui ne fréquentent jamais nos synagogues, ni lors des fêtes et encore moins le Chabbat, (…)