Pourquoi chante-t-on la fameuse formule « Le-chana ha-baa bi-Yirouchalaïm : L’an prochain, à Jérusalem ! », à la fin de Kippour, et donc, à l’issue du cycle des « Yamim ha-noraïm », les « jours redoutables » qui nous accompagnent depuis Roch ha-chana ?
Cette formule se récite également – cela est davantage connu – à la fin du Seder de Pèssah. La question dès lors se dédouble : pourquoi cette espérance est-elle évoquée tant à l’issue de Pèssah que de Kippour ? Bien que la formule (…)